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Information Nationale

 

Bonjour,

Veuillez trouver ci-dessous le numéro de notre newsletter CFE-CGC Le + syndical :
http://www.cfecgc.org/publications/newsletter-le-plus-syndical/dernier-numero/
 
Dans ce nouveau numéro, retrouvez la campagne de communication de la CFE-CGC pour la défense de l’AGIRC et le statut cadre :
- Que faut-il retenir de la 5ème séance de négociation qui s’est tenue lundi dernier ?
- Reprise des négociations AGIRC-ARRCO prévue le 16 octobre : la CFE-CGC s’interroge : « le patronat fera-t-il bon usage de ce sursis ? »
- La Confédération continue de déclarer que la fusion ne règle pas la problématique de financement…
 
Et la vie de la CFE-CGC :
- Le Baromètre CFE-CGC « Performance sociale et compétitivité » ; cette étude barométrique démontre que performance sociale et performance économique des entreprises sont liées,
- Des communiqués de presse sur le projet de loi Macron, le prélèvement à la source de l’impôt, la décarbonation de l’économie,
- De très bons résultats électoraux, la CFE-CGC d’Air France appelle Jean Mermoz au secours de la compagnie, la participation de la présidente confédérale au Congrès international francophone des ressources humaines.
 
Bonne lecture.
 
Bien cordialement.
Service communication CFE-CGC

Spark, un projet Open Source Big Data de la fondation Apache, vient de recevoir un soutien de poids. IBM a en effet décidé d’intégrer cette offre à ses solutions, mais aussi de supporter la communauté Spark.

 

                     

Spark, qui fonctionne sur un cluster de serveurs, permet de traiter les données jusqu’à 100 fois plus rapidement que Hadoop, et ce du fait de l’utilisation de la technologie In-Memory, c'est-à-dire de la mémoire vive des serveurs en lieu et place du stockage classique.

Et vu la masse de données générées par les projets de Big Data, un peu plus de performance au niveau de l’architecture de calcul devient rien moins que nécessaire pour tendre vers le Graal : le traitement des données en temps réel.

Il s’agit du «plus important nouveau projet Open Source de la décennie » dans le secteur du traitement de données affirme laudateur IBM à propos de Spark. Big Blue va l’intégrer à ses offres d’analytique et de e-commerce, mais aussi à Watson Health Cloud sur le PaaS Bluemix. Au-delà de la visibilité apportée par IBM à Spark, la communauté s’enrichie des contributions de 3 500 développeurs maison, répartis dans 12 laboratoires. Enfin SystemML, la technologie de Machine Learning d’IBM, passe en Open Source, et doit pouvoir ainsi profiter à l’écosystème Spark.

Oubliez les 35 heures ! De nombreux Français travaillent beaucoup plus, de nuit, voire parfois même 7 jours sur 7. Voici les chiffres clés pour s'en convaincre.

De nombreux salariés Français ont des rythmes qui n'ont rien de la petite routine "métro-boulot-dodo", au bureau du lundi au vendredi entre 9h et 18h. C'est ce que démontre une récente note de la Dares publiée cette semaine, basée sur les réponses de plus de 22.000 personnes situées en métropole, à l'enquête "Conditions de travail" menée en 2013 par cette même institution. Alors, faites vous partie des surmenés ou, au contraire, de ceux qui peuvent se la couler douce ? Voici des données qui vous permettront de vous situer par rapport au reste de l'Hexagone…

 

> Les 35 heures aux oubliettes

Pour de nombreux salariés, les 35 heures ne sont guère plus qu'un sujet de blague entre collègues. 46,7% dépassent ce seuil hebdomadaire, et 31,7% bossent plus de 39 heures. Près de 10% affirment même enchaîner les semaines de plus de 50 heures, et cette proportion grimpe à 27,3% pour les seuls cadres. Seuls 24,7% des sondés affirment respecter tous les jours l'horaire prévu.

> Le travail du samedi et du dimanche plus répandu qu'on ne le pense

L'actuel débat sur l'élargissement du travail le dimanche, prévu par le projet de loi Macron, ne doit pas faire oublier que nombre de Français s'y sont déjà convertis. Plus d'un quart (28,4%) affirme ainsi avoir bossé au moins une fois lors du "jour du Seigneur" en 2013, 13% déclarent le faire de manière habituelle. Le samedi, de son côté, est un jour habituellement travaillé pour 25,4% des salariés. Une proportion qui grimpe à près de 50% (47,9%) en ajoutant ceux qui l'ont fait occasionnellement.

> La semaine de travail de 5 jours, pas pour tout le monde

Si la grande majorité des Français (71,3%) travaillent 5 jours par semaine, ils sont tout de même 8% à dépasser cette barre. 1,4% triment même 7 jours sur 7. Il s'agit, pour la plupart, de salariés issus du secteur de l'agriculture, de la pêche et de la sylviculture, où la proportion de ceux qui bossent non-stop atteint 6,8%.

> Une journée qui commence parfois très tôt

Les lève-tôt sont plus nombreux qu'on pourrait le penser. Plus d'un quart (26,3%) des salariés, et même 42,7% des seuls ouvriers, démarrent leur journée entre 5 heures et 8 heures. Le gros des troupes (62,5%) arrive ensuite entre 8 et 10 heures. La journée se termine ensuite généralement entre 17h et 19h30 (dans 57,1% des cas). Ils sont 12,4% à pousser au-delà, et 1,9% à quitter le bureau régulièrement après 22h.

> Le travail de nuit concerne davantage les hommes que les femmes

15,5% des salariés affirment travailler la nuit, dont 6,5% pour qui c'est une habitude. Cette proportion est deux fois plus élevée pour les hommes que pour les femmes : 21,6% contre 9,4%. Sans grande surprise, les agents de la fonction publique hospitalière sont bien plus nombreux que la moyenne dans ce cas : 34,4% au total.

> Après le boulot… toujours le boulot

Certes, une majorité de Français (52,1%) affirme toujours ne pas emporter de travail à leur domicile une fois la journée terminée. Mais cette proportion d'irréductibles Gaulois fond comme neige au soleil : ils étaient 62,9% dans ce cas en 2005. Dans le même temps, la part des personnes bossant "souvent" ou "tous les jours" une fois chez eux est passée de 10 à 11,6%. Les femmes sont un petit peu plus nombreuses que les hommes dans ce cas (11,9% contre 11,3%). Surtout, elles y passent beaucoup plus de temps : 29,9% y consacrent plus de 6 heures par semaine, contre 23,8% pour la gent masculine.

JEROME PISSENTI

Né en 2011 et bénéficiant depuis 2014 d'un coup d'accélérateur à son développement, Watson, le système de connaissance basé sur l'apprentissage d'IBM, commence à avoir de nombreux débouchés dans le monde réel. En particulier dans le secteur médical.

 

Le plus connu des système de connaissance basé sur l'apprentissage, Watson, doit beaucoup à la France. Et en particulier à Vivissimo, un éditeur français racheté en 2012 par IBM qui en a fait l’un des piliers de sa technologie d’apprentissage cognitif. Une société fondée par un certain Jérôme Pissenti et qui se trouve être depuis 3 ans à la tête du département R&D de Watson.

 

Depuis l’année dernière, Big Blue a donné un coup d’accélérateur à Watson en créant une Business Unit regroupant un ensemble de services et technologies qui lui sont entièrement consacrées regroupant un cœur de recherche articulé autour des algorithmes, de la reconnaissance vocale et du dialogue. « Le domaine de l’intelligence artificielle existe depuis plus de 20 ans mais tout s’est accéléré ses 4/5 dernières années », a expliqué Jérôme Pissenti à l’occasion d’un point presse organisé fin mai à Paris. Depuis qu’il a fait ses preuves en live à l’occasion du célèbre jeu télévisé Jeopardy et écrasé ses deux autres concurrents humains, Watson n’a cessé d’être amélioré. Pour autant il est encore loin - pour le moment - de faire jeu égal avec l’humain. Big blue a ainsi évalué qu’un humain compte environ 100 milliards de neurones pour 100 trillons de connexions contre « un équivalent » pour Watson d'un million de neurones et un milliard de conversations pour Watson.

 

Des informations exhaustives sans prendre le pas sur la décision humaine

 

Malgré le fossé qui le sépare de l’humain, Watson permet de le soulager de certaines tâches et est aujourd’hui suffisamment performant pour procurer une aide à la décision précieuse sans toutefois se substituer à celle prise par l’humain. « Watson Health permet de corréler des données cliniques, médicales et environnementales et d’apporter une aide au diagnostic pour des maladies graves ou chroniques comme le cancer ou le diabète », poursuit Jérôme Pissenti. « L’objectif de Watson est de fournir aux médecins une information exhaustive pour lui permettre de prendre des décisions en connaissance de cause et en tenant compte d’informations de tous types. C’est une aide à la décision de traitement mais en aucun cas la machine décide du traitement, le dernier mot revient au médecin ».

 

Dans le médical, premier secteur à s’être intéressé pour les technologies Watson, IBM indique de nombreuses références. En France, on trouve ainsi Sanofi qui est très actif, avec un focus dans la recherche pour l’aider à collecter des informations sur la dangerosité des nouvelles molécules. Pour ce secteur, l’éditeur propose notamment Discovery Advisor (analyse de documents, extraction et compréhension de concepts pour donner une analyse claire ) et Watson Oncology (aide au diagnostic). Mais d’autres y recourent également, comme le secteur bancaire, pour l’analyse et les risques financiers et proposer des offres susceptibles de retenir les clients.

 

Le français : prochaine langue prise en charge par Watson

 

A l’origine, Watson a été développé en anglais mais un algorithme de base multilingue a été ajouté afin de gérer aujourd’hui l’espagnol et le japonais, sachant que la localisation est effectuée en fonction des priorités commericales. Tout vient à point à qui sait attendre : la prochaine langue prise en charge par Watson sera le français.  

 

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Lors de la quatrième séance de négociation sur les retraites complémentaires, les partenaires sociaux ont examiné le nouveau document de travail du patronat visant à redresser les finances de l’Agirc et de l’Arrco. Si le texte ne comprend que quelques nouvelles mesures, il durcit, en revanche, les propositions déjà mises sur la table. Mais, devant l’opposition de l’ensemble des syndicats, le patronat va devoir revoir sa copie, d’ici à la prochaine réunion du 22 juin.
 


C’est dans une « ambiance crispée » que les partenaires sociaux se sont à nouveau réunis, le 27 mai, afin de trouver des solutions pour résorber le déficit des régimes Agirc et Arrco, désormais estimé à 8,2 milliards d’€ en 2020, au lieu de 7,4 milliards. À cette occasion, les négociateurs se sont penchés sur un nouveau document de travail du patronat, transmis le 22 mai aux syndicats. Pour la plupart déjà prévues dans le document précédent, les propositions du Medef ont toutefois été durcies par rapport aux dernières séances de négociation. En effet, loin de lâcher du lest, le patronat a, au contraire, confirmé la mise en œuvre de sa mesure phare : l’abattement temporaire et dégressif sur les pensions, dès 2017, au taux de 40 % pour la première année. De leur côté, les syndicats ont unanimement rejeté le texte jugé comme déséquilibré et inacceptable. Face à cette impasse, un nouveau texte devrait être remis aux syndicats avant le 22 juin, date de la prochaine séance de négociation. Très sceptique sur un éventuel accord, les organisations syndicales n’ont pas exclu qu’une sixième séance soit fixée en juillet et que les négociations puissent se poursuivent en septembre voire en octobre.

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