Seules les adresses IBM @fr.ibm.com seront validées. Exception pour les dispensés d'activité. Merci de contacter le délégué syndical de votre dernier site de rattachement

Si vous ne recevez pas votre message de validation dans les minutes qui suivent, merci de vérifier votre dossier de spam

Information Nationale

Pensez à voter pour vos représentants CFE-CGC. La procédure est dans le tract ci-dessous en seconde page.


Progression constante de la CFE-CGC dans la Métallurgie : Analyse des résultats de représentativité

Le paysage syndical de la métallurgie française connaît une évolution notable, marquée par une progression continue de la CFE-CGC. Les données de représentativité, illustrées dans le graphique ci-dessous, mettent en lumière cette dynamique, confirmant les "excellents résultats interprofessionnels" récemment soulignés par notre organisation. L'analyse de ces chiffres révèle une trajectoire ascendante unique pour la CFE-CGC au sein de ce secteur clé de l'économie française.

La progression remarquable de la CFE-CGC :

La CFE-CGC est la "seule organisation à gagner des voix (+0,7pts)" dans la métallurgie et elle poursuit une "dynamique continue depuis 2013".

Cette augmentation régulière témoigne d'une capacité de la CFE-CGC à gagner en influence et à mobiliser les salariés de la métallurgie. Le gain de 0,7 point entre 2021 et 2025, bien que modeste en valeur absolue, est significatif dans un contexte où les autres organisations majeures stagnent ou reculent.

Il est important de noter qu'au niveau de la Confédération CFE-CGC, l'organisation représente 21,75% des voix dans son champ statutaire de l'encadrement et 12,95% tous syndicats confondus (y compris non représentatifs au niveau national interprofessionnel) et tous collèges confondus. Ces chiffres, bien que concernant la confédération dans son ensemble et non spécifiquement la métallurgie, témoignent de la force et de la représentativité de la CFE-CGC au niveau interprofessionnel, ce qui permet notamment de signer des ANI. Notre poids dans la Métallurgie nous permet de signer des accords de branche qui s'appliquent à toutes les entreprises de la métallurgie.

Conclusion:

L'analyse des données de représentativité dans la métallurgie met en évidence une tendance claire : la CFE-CGC est la seule organisation syndicale à afficher une progression continue et significative depuis 2013. Alors que d'autres acteurs majeurs connaissent une stagnation ou une légère érosion de leur poids, la CFE-CGC renforce sa position au sein de ce secteur industriel crucial. Cette dynamique, potentiellement alimentée par sa solide représentativité au niveau interprofessionnel, confirme les "excellents résultats interprofessionnels" mentionnés et souligne la pertinence de la stratégie et de l'action de la fédération CFE-CGC de la Métallurgie auprès des Directions et des salariés cadres au profit de ces derniers.


Comme nous vous l'annoncions dans ce tract, IBM France va bien distribuer de la participation en 2025. Malheureusement, à ce jour, le gateau est divisé par deux par rapport à 2023. Chacun aura donc environ la moitié de sa participation 2024. Le chiffre peut encore fortement évoluer en fonction de la liasse fiscale qui arrivera en mai. Le paiement aura lieu en juillet prochain.

Pour rappel, il n'y aura pas d’intéressement.

La CFE-CGC se désole et espère que la participation augmentera.


"C'est tout à fait possible de revenir à 62 ans", répond le leader de la CFE-CGC à François Bayrou

Selon François Hommeril, l'âge de 64 ans est "une forme de punition" de la part des politiques ....

Lire l'article sur le site de France Info


Un salarié d'IBM, adhérent à la CFE-CGC, s'interroge sur le calcul de son maintien de salaire durant un arrêt maladie. La question centrale concerne l'inclusion de la part variable de sa rémunération, en plus de son salaire fixe contractuel (RTR chez IBM).

La problématique : salaire contractuel versus salaire réel

Le salarié, exerçant une fonction commerciale, perçoit un salaire composé d'une part fixe et d'une part variable. Pendant son arrêt maladie, IBM a maintenu son salaire au niveau de la seule part fixe contractuelle. Or, le salarié souhaite savoir si le calcul doit prendre en compte la moyenne des 12 derniers mois, incluant la part variable, conformément aux dispositions légales et conventionnelles.

Analyse juridique : convention collective de la métallurgie et jurisprudence

La suite et nos conclusions dans cet article pour nos adhérents


Sous-catégories