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Information Nationale

Nous avons été interpellés par certains d'entre vous qui nous demandent comment "prendre le plan" qui vient d'être annoncé par la Direction. Oui, le mail du vendredi 28 octobre.

Il ne s'agit pas d'un plan mais uniquement de l'activation des avenants de l'accord GEPP. De vieux dispositifs que la CFE-CGC IBM n'a pas souhaité valider quand il s'agissait de signer cet accord. Pourquoi nous ne l'avions pas validé ? La réponse est ici

Alors, nous ne l'avons pas signé mais nous pouvons tout de même vous accompagner dans vos démarches. Notre "plus" vient de notre vision de cet accord. On va ici exceptionnellement partager nos conseils pour nos adhérents et nous vous invitons d'ailleurs à adhérer à la CFE-CGC IBM afin d'avoir l'information pertinente au bon moment.

Rentrer dans un de ces deux dispositifs en ce mois de novembre ou décembre 2022, c'est finalement se couper des chances de rentrer dans un hypothétique plan en début d'année prochaine. Les deux dispositifs que la Direction annonce dans son mail représentent des plans au rabais pour eux et pour vous.

  • Pour la Direction, la facture est moins salée qu'un PSE qui a été toujours plus coûteux car avec des mesures plus favorables aux salariés, que ce soit en montant d'indemnité ou en durée pour rentrer dans le plan.
  • Pour vous, car les indemnités sont plus faibles que dans le cadre d'un PSE et, en plus, elles sont fiscalisés.

Quelle est la stratégie de la Direction à ce jour?

- Faire partir un certain nombre d'entre nous d'ici l'annonce en début d'année prochaine d'un futur hypothétique plan 2023. Plan qui sera plus coûteux pour la Direction que d'activer les avenants.

- Diminuer le nombre de départs en PSE en fonction du nombre de personnes rentrées dans ces deux dispositifs.

Encore une fois, ces deux dispositifs sont du pain béni pour la Direction afin de lui faire faire des économies pour votre départ.

 


 

La CFE-CGC ne participera pas à la réunion de lancement du Conseil National de la Refondation prévue à Marcoussis ce jeudi 8 septembre 2022.

Cette décision n’est pas un renoncement à exercer la plénitude d’un mandat de représentation que les salariés nous confient mais une alerte face à un trouble délibéré à l’ordre des institutions et au délitement du respect qui est dû aux partenaires sociaux dans une démocratie.

En effet, depuis 5 ans, voire au-delà, les syndicats sont assignés à un rôle de faire-valoir, renvoyés dans les entreprises, le seul lieu où le pouvoir leur reconnaît une utilité concrète. Méconnaissant la force du paritarisme dans sa capacité à générer du développement économique à l’appui d’une norme sociale ambitieuse, l’exécutif légifère sous la dictée des puissants sans jamais intégrer les impacts mesurés d’une politique de dérégulation inefficace.

Ainsi, et dans le même temps, nous entendons un discours invitant chacun à la résilience et au changement, et constatons des actes renforçant la méthode de la décision unilatérale habillée d’une vague « concertation » dont tout le monde connaît l’issue. Le projet de loi sur l’assurance-chômage et ce qu’il porte d’intention sur la réforme des conditions d’indemnisation en fonction de la conjoncture est l’exacte illustration d’une méthode que la CFE-CGC ne peut plus accepter.

C’est une chose d’être conforme aux engagements de son mandat, c’en est une autre de cautionner par sa présence une nouvelle instance dont la fonction, à l’évidence, est de siphonner ce qui reste de raison d’être aux assemblées et aux structures démocratiques de représentation des intérêts dont les corps intermédiaires sont naturellement porteurs.

Le président de la République nous invite à « faire Nation », nous l’invitons pour cela à respecter les institutions de la Nation, à faire confiance aux organisations syndicales et à entendre la vérité dont ils sont les porteurs. Créer pour cela une instance ou une méthode nouvelle est inutile et intensifie la défiance envers un pouvoir sans cesse tenté de brouiller les pistes.

Pour la CFE-CGC, le CNR est un objet de communication, rien de plus. La preuve désormais nous en a été donnée. C’est, enfin, une usurpation d’identité assez indélicate que la CFE-CGC ne veut pas cautionner.

​Pierre Jan - Relations Presse et institutionnelles
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - Tél. : 01 55 30 12 92 - 06 32 05 69 02
Source : https://www.cfecgc.org/salle-de-presse/communiques-de-presse/cnr-la-cfe-cgc-fait-de-la-resistance


L'inflation est là et la confédération CFE-CGC essaye de maintenir votre pouvoir d'achat via ses actions auprès du gouvernement et des parlementaires.

La CFE-CGC Métallurgie œuvre à son niveau. Ainsi, lors des négociations de début d'année sur les minimas conventionnels, il a été convenu d'une clause de revoyure dans le cas où l'inflation serait trop élevée. Ce qui est le cas. Ainsi, en septembre, les négociateurs de la CFE-CGC iront renégocier à la hausse les minimas conventionnels. Ceux à la RAG seront gagnants !

Nous concernant, à la CFE-CGC IBM France, nous avons fait plusieurs demandes à la Direction pour l'ensemble des salariés. Pour l'instant, la Direction s'est montrée sourde à nos revendications. Tellement sourde qu'elle ne nous a jamais répondu malgré plusieurs relances.

Nous avons toutefois d'autres pistes que nous explorons actuellement, avec la CFDT, pour les indices UIMM 130 qui pourraient passer 135, voire 140, prochainement si le service juridique de la compagnie finit par reconnaître notre raisonnement. Concrètement, cela ferait environ 2000€ supplémentaires par an pour ceux à la RAG de l'indice UIMM 130 et répondant aux critères d'éligibilité de passage à l'indice 135 !


Nous revendiquons depuis plusieurs années que les congés d'été ne soient plus imposés, d'autant que cela n'a pas de sens vu le nombre d'exceptions distribuées. Seul l'employeur reste décisionnaire, alors nous faisons avec.


 

La CFE-CGC IBM France est intervenue suite à la présentation en CSEC de la signature par la compagnie de la charte d'engagement LGBT+ de la fédération d'association "un autre cercle". Vous trouverez ci-après notre déclaration.


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