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Information Nationale

L'inflation est là et la confédération CFE-CGC essaye de maintenir votre pouvoir d'achat via ses actions auprès du gouvernement et des parlementaires.

La CFE-CGC Métallurgie œuvre à son niveau. Ainsi, lors des négociations de début d'année sur les minimas conventionnels, il a été convenu d'une clause de revoyure dans le cas où l'inflation serait trop élevée. Ce qui est le cas. Ainsi, en septembre, les négociateurs de la CFE-CGC iront renégocier à la hausse les minimas conventionnels. Ceux à la RAG seront gagnants !

Nous concernant, à la CFE-CGC IBM France, nous avons fait plusieurs demandes à la Direction pour l'ensemble des salariés. Pour l'instant, la Direction s'est montrée sourde à nos revendications. Tellement sourde qu'elle ne nous a jamais répondu malgré plusieurs relances.

Nous avons toutefois d'autres pistes que nous explorons actuellement, avec la CFDT, pour les indices UIMM 130 qui pourraient passer 135, voire 140, prochainement si le service juridique de la compagnie finit par reconnaître notre raisonnement. Concrètement, cela ferait environ 2000€ supplémentaires par an pour ceux à la RAG de l'indice UIMM 130 et répondant aux critères d'éligibilité de passage à l'indice 135 !


Nous revendiquons depuis plusieurs années que les congés d'été ne soient plus imposés, d'autant que cela n'a pas de sens vu le nombre d'exceptions distribuées. Seul l'employeur reste décisionnaire, alors nous faisons avec.


 

La CFE-CGC IBM France est intervenue suite à la présentation en CSEC de la signature par la compagnie de la charte d'engagement LGBT+ de la fédération d'association "un autre cercle". Vous trouverez ci-après notre déclaration.


416 est le nombre de salariés IBM France SAS qui sont encore sous le minimum conventionnel après les augmentations de salaire de début mai 2022. 416 salariés sur un peu moins de 3000 actifs qu'IBM France SAS compte encore en France.

416 salariés qui, chaque mois, ont une prime pour compenser le fait qu'ils sont sous le minimum conventionnel, qui voient disparaître la totalité de leurs primes et récompenses (puisque celles-ci ne servent qu'à rapprocher leur salaire du minimum conventionnel, donc légal...)

Combien sont juste au dessus ? Combien ont eu une prime depuis le début d'année qui les ont fait passer juste au dessus du minimum et donc cette prime a été partiellement absorbé. Ils ne sont pas comptabilisés ici. À chaque augmentation négociée au niveau de la branche de la convention collective, plusieurs centaines de salariés repassent sous le minimum conventionnel. Devrait-on interdire les augmentations de la convention collective comme le MEDEF le préconise ? Seule cette négociation de branche où la CFE-CGC est majoritaire permet à ces 416 salariés d'avoir un maintien du pouvoir d'achat ?

D'ailleurs, pour information à Monsieur Geoffroy Roux de Bézieux (Président du MEDEF), le barème des notes de frais à IBM France SAS n'a pas été revu depuis 2019 et la Direction ne souhaite pas revoir ce barème malgré nos demandes. Au moins, on ne participe pas à l'inflation vu que c'est le salarié sur son salaire qui absorbe l'augmentation du montant des notes de frais. Si encore le barème était généreux....

IBM France a bien raison de ne pas parler salaire car, avec 3.3% d'augmentation réalisée en moyenne et tous n'ont pas eu cela (augmentations légales incluses), nous ne sommes pas dans le haut du panier. On vous parle de PMR (Price Market Ratio: prix du marché - Comment trouver son PMR dans WorkDay), sachez que, au delà de 0.95, les augmentations deviennent difficiles et presque impossibles au delà de 1.00. Combien d'entre nous sont à 85, 75% du prix du marché ? À noter qu'un PMR sous les 80% bloque toute promotion de PRG (changement de Band)...

L'article parle d'embauche à IBM France, il faut se méfier : les embauches ne se font pas à IBM France SAS mais dans une des filiales qui sont SYNTEC avec des minimums conventionnels moins attractifs !


 

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