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Information Nationale

Délibération du comité directeur de la CFE-CGC du 25 septembre 2017


Réuni ce jour, le 25 septembre 2017, le comité directeur de la CFE-CGC adopte la délibération suivante : les ordonnances travail font peser un risque grave sur la situation des salariés.

Elles facilitent la précarisation et la destruction des emplois et créent les conditions de la dégradation des conditions de travail. Par son déséquilibre en faveur d’une flexibilité incontrôlée, cette loi marque un recul sans précédent qui n’aura aucun impact positif sur l’emploi et l’économie.

La surdité du gouvernement est alarmante et augure mal de la suite des évènements.

Refusant de rester passive sauf à se sentir complice de la dégradation de la situation, la CFE-CGC appelle à un mouvement unitaire et invite l’ensemble des centrales syndicales à réagir selon des modalités dont elles définiront ensemble la nature et la date.

fichier .pdf


 

Accèder à la plaquette

Bonjour,
La Confédération vous informe de la parution de sa nouvelle plaquette :
« CFE-CGC LE SYNDICAT DE L’ENCADREMENT ».

Elle présente notamment, les services que nous proposons, les idées que nous défendons, quelques grandes dates et chiffres….
Voici en fichier joint ce dépliant 3 volets que vous allez recevoir en quantité cette semaine.

Vous pouvez aussi le télécharger à partir de ce lien :  ouvrir le lien


Manifeste appel de 9 syndicats pour une journée nationale d'action le 28 septembre

Non à la hausse de la CSG de 1.7%


 Journée nationale d’action et de mobilisation des retraité(e)s
le jeudi 28 septembre 2017


Mobilisation des retraité(e)s
 
Neuf organisations, dont UNIR CFE-CGC, appellent les retraité(e)s à se mobiliser dans les départements sous des formes diverses le 28 septembre 2017, pour défendre leur pouvoir d’achat, mais aussi les services médicaux et sociaux.
 
Haro sur le pouvoir d’achat des retraité(e)s
 
Au printemps dernier plus de 12 000 retraité(e)s se sont exprimé(e)s dans une enquête lancée par ces neuf organisations.
80 % des personnes retraitées qui ont répondu à cette enquête indiquent que leur situation financière s’est dégradée.
Malgré cela, le gouvernement annonce une baisse des pensions pour 8 millions de retraité(e)s en augmentant de 1,7 point leur CSG, sans aucune compensation : la CSG passera de 6,6 % à 8,3 %, soit une augmentation de 25 %.
Ce qui représente une perte de :
- 204 € par an pour une pension de 1 000 € par mois ;
- 306 € par an pour une pension de 1 500 € par mois ;
- 408 € par an pour une pension de 2 000 € par mois.
 
Cette augmentation de la CSG s’ajoute à une liste déjà longue d’attaques, avec la CASA de 0,3 %, la suppression de la 1/2 part fiscale pour les veuves et veufs, la fiscalisation de la majoration familiale et le blocage des pensions depuis plus de 4 ans.
À cela s’ajoute l’annonce de la réduction de 5 € par mois de l’APL (Aide personnalisée au logement) qui visera notamment les retraité(e)s locataires.
L’annonce d’une augmentation des pensions du régime général et alignés de 0,8 % au 1er octobre ne représente, en aucune manière, une quelconque augmentation car elle ne fait que compenser l’inflation, après quatre années de non-indexation.
D’autant que pour les retraites complémentaires, aucune augmentation n’est prévue.
 
Vers la disparition des emplois aidés
Dans l’enquête menée au printemps dernier, les retraité(e)s sont quasi unanimes à considérer que les plans d’aide à l’autonomie sont insuffisants, tant à domicile qu’en établissements.
Le gouvernement, non seulement ne prend aucune mesure pour réduire les « restes à charge » mais il s’attaque aux moyens dont peuvent disposer les établissements, les associations et les collectivités locales en supprimant les emplois aidés.
Il communique sur la disparition du reste à charge des lunettes, prothèses auditives et dentaires… sans insister sur l’augmentation correspondante des complémentaires santé.
Dans notre même enquête, 84 % des retraité(e)s considéraient que les politiques menées avaient négligé ou ignoré leur situation.
 
Ces dernières années, les actions menées à l’initiative des organisations de retraités ont permis de « limiter la casse » : les personnes non imposées en 2015 n’ont pas payé d’impôt en 2016 et 2017, les seuils de déclenchement de la CSG ont été relevés,
l’APA a été légèrement augmentée.
 
Alors oui, les retraité(e)s ont de bonnes raisons de se mobiliser pour éviter de nouvelles dégradations importantes de leur pouvoir d’achat, obtenir une évolution des pensions liée à l’évolution des salaires et une amélioration importante de la prise en charge de la perte d’autonomie.


 

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Le gouvernement a présenté le 31 août les ordonnances sur la réforme du Code du travail dont une large part confirme les craintes exposées par la CFE-CGC durant la phase de concertation avec les partenaires sociaux. Rémunération, licenciements économiques, indemnités prud'homales, fusion des instances représentatives du personnel, ruptures conventionnelles collectives... Décryptage de quelques-unes des principales mesures et de leur futur impact sur les salariés.

quels risques désormais pour les salariés ?


 

 

Le document ci-après reprend les modalités à venir pour le licenciement.

  1. La motivation du licenciement pourra intervenir après la notification du licenciement. Ces précisions pourront être apportées, soit de la propre initiative de l'employeur, soit à la demande du salarié.
  2. Une lettre type de licenciement pourrait voir le jour. Ça deviendrait un document type Cerfa avec des cases à cocher.
  3. La nullité du licenciement en cas de pluralité de motifs. Si un motif invoqué viole un droit ou une liberté fondamentale, le juge pourra examiner les autres motifs du licenciement pour atténuer l'indemnisation accordée au salarié.

AVEC LA REFORME, LE SALARIE POURRA GAGNER AUX PRUD'HOMMES ET REPARTIR SANS ARGENT

  1. Le délai de contestation est réduit à un an
  2. Cerise sur le gâteau : LA REVALORISATION DES L’INDEMNITÉ LÉGALE DE LICENCIEMENT Avant 1/4 de salaire brut jusqu'à 10 ans et 1/3 au delà !

Certes la revalorisation du montant de l'indemnité est de 25 % pendant 10 ans. Mais 25 % de quoi ???

Le barème prud'homal:

Avec 5 ans d'ancienneté vous pourrez prétendre à au moins 3 mois de salaire brut, sans excéder 6 mois.
Avec 10 ans d'ancienneté vous pourrez prétendre à au moins 3 mois de salaire brut, sans excéder 10 mois.
Avec 15 ans d'ancienneté vous pourrez prétendre à au moins 3 mois de salaire brut, sans excéder 13.5 mois.
etc...

Pour les entreprises de moins de 11 salariés : LE BARÈME EST INDÉCENT

Les salariés doivent savoir et être conscients de ce qui nous attend avec la Réforme du Code du Travail.
Il est impérieux que tout le monde en prenne connaissance
Merci par avance d'être notre relais dans les autres entreprises, auprès de vos ami(e)s, collègues
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